Cette dernière pomme qui allait passer l’hiver ainsi suspendue, était pour moi l’image qui résumait les sonates de Schubert et la Russie. Je ne sais pourquoi. Je la regardais. Peut-être était-ce la minceur de cequi la rattachait à l’arbre qui évoquait en moi une fissure, peut-être était-ce la tenacité d’une chose qui ne sait pas qu’elle vit.

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